Contrairement aux accusations formulées par le Collectif des Médias en Ligne (CMEL), l'organisation souligne que les autorités, en particulier le ministre de la Justice et de la Sécurité Publique, Me Pelissier, ont fait preuve de sérieux, d'empathie et de rapidité dans leur intervention.
La mort de deux journalistes et d'un policier a bouleversé la communauté médiatique haïtienne, et SOS Journalistes rappelle l'importance de ne pas politiser ce drame.
Actuellement, l'accent est mis sur l'organisation des funérailles des victimes, prévues pour le 11 janvier 2025, et sur le soutien aux familles endeuillées.
Le gouvernement a décidé de couvrir les frais funéraires et d'accorder des compensations aux proches des victimes, tout en veillant à ce que les journalistes blessés reçoivent les soins nécessaires.
Une réunion constructive a eu lieu avec les familles des victimes, permettant d'analyser leurs revendications.
Des mesures concrètes seront mises en œuvre dès le 6 janvier 2025, avec la participation de représentants du CMEL et du Réseau National des Médias en Ligne (RENAMEL) dans la Commission de suivi, coordonnée par Joseph Guyler C. Delva, Secrétaire Général de SOS Journalistes.
Le ministre Pelissier et la commission continuent de travailler sans relâche, même durant les jours fériés, pour assurer une prise en charge rapide et efficace des journalistes touchés par cette tragédie.
L'initiative du ministère de la Justice et de la Sécurité Publique est un pas significatif vers la reconnaissance et la protection des droits des journalistes en Haïti.
FL
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